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11/03/05-Contribution de (Pseudo) Laure
Je viens de me faire rouler dans la
farine en achetant sur Ebay un soi- disant sax Besson(S). Cet objet n'est
qu'une fausse antiquité de qualité déplorable, tout
jute bonne à finir en pied de lampe ou accroché au mur des
toilettes.
Je suis encore un "bleu" en instruments, et c'est bien fait
pour moi. J'aurais du être beaucoup + méfiant.
Mes erreurs principales:
- Non vérification de la marque, le "S" en plus aurait
du m'interpeller
- Pas de N° de série indiqué ou plutôt une imitation
pas du tout réaliste.
- Les photos un peu flou pour certaines, et surtout les observer plus
précisement, voire en demander d'autres.
-Surveiller les enchères au plus près, la même camelotte,
avec la même annonce est apparue une fois mon règlement effectué....encore
visible pour 2 jours...jusqu'au prochain...
-Et pour couronner le tout, après l'embrouille, le vendeur via
mel qui me dit en avoir encore une dizaine à vendre.....
J'ai honte, mais c'est comme ça que l'on apprend...
Ne souriez pas, ça existe...
Salutations
Répondre
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Votre aventure fait penser à celle vécue
par tout collectionneur 'free-lance" si je puis dire, qui collectionne
dans son coin. C'est en quelque sorte un passage obligé, une école
où l'on peut apprendre plus ou moins vite et qui peut coûter
plus ou moins cher.
On a le droit de sauter des classe dans cette école!
Vous parliez donc du fameux troisième Beson(s), d'origine pakistanaise?....
Voyez en cliquant sur la ligne d'après ce que pense Pajot de ses
débuts de collectionneur, qui ne fait pas mention d'Ebay : contribution
068
Cordialement
P.S : un grand merci de la part des membres et de moi-même pour
nous avoir fourni des photos d'estampilles d'instruments (Couesnon, Dolnet,
Buffet, etc..). Elles figurent dès à présent dans
notre rubrique "Poinçons-Marques
et Signatures".
L'administrateur
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1/03/05-Contribution de (Pseudo) aenna
Bonjour, J'ai trouvé au fond d'un lot de livres
achetés aux enchères une flûte traversière
dont j'aimerais connaitre la date. On y lit : exposition universelle de
paris (dans une bannière) 1889 (je crois, c'est très petit)
Hors concours, membre du jury C et G de part et d'autre d'une ancre de
marine dans un cartouche ovale 94 rue d'Angoulème Couesnon et cie
Paris. Quelqu'un a-t-il une idée ? Même question pour le
sax alto Pierret que me vend un collègue de ma fanfare ; j'aimerais
savoir de quand il date. On lit sur le pavillon: Pierret 207 Bd Voltaire
Paris super "artiste" 48 Pierret (avec un petit sax stylisé)
essayé par H. Painboeuf (en fait Poimboeuf, note de instrumantiq.com)
soliste de la garde républicaine. Merci d'avance pour toute information.
Répondre
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Réponses:
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Vous trouverez des éléments
de réponse sous la rubrique "fabricants" à Couesnon
et Pierret. En dehors des numéros de série
et autres indications d'adresses par ex. les flûtes modernes (métal
en général et système de clés Boehm) ne sont
pas faciles à dater précisément, surtout s'il s'agit
d'une grosse marque comme Couesnon. Elles ont été et sont
topujours fabriquées en série relativement importante, depuis
le début du XXème s. Contrairement aux saxophones par exemple,
le système de clés et "l'architecture" générale
des flûtes ne se sont pas modifiés depuis cette époque.
Une flûte fabriquée aujourd'hui peut ressembler comme une soeur
à son modèle d'il y a 100 ans. Paradoxalement une flûte
anonyme de 1840 est plus facile à dater et parfois à attribuer,
qu'un flûte moderne si elle ne porte pas d'indications autre qu'une
marque répandue. Seule une adresse, un n° de série peuvent
aider. Parfois le coffret qui la contient donne plus d'indications sur une
époque que l'instrument lui-même. Ceci dit je ne suis pas spécialiste
et cet avis vaut ce qu'il vaut. Vous avez bien de la chance d'avoir fait
cette découverte sous de vieux bouquins !
marcq
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24/02/05-Contribution de (Pseudo) marcq
"Je possède une flûte en métal (argent?) signée
"GAUBERT à LILLE" et dessous "Laignel Successeur".
Je ne trouve pas de renseignements sur ce facteur, mon LANGWILL n'en parle
pas, mais c'est une édition ancienne. Quelqu'un peut-il m'aider
? Merci. marcq"
Répondre
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Bonjour,
Il y aurait eu deux Gaubert à Lille, J.P (?) 1865/1874 et Eugène
1872/1893; Les deux ont utilisés la maison Thibouville comme fabricant/fournisseur
; Laignel était aussi Lillois en 1874 et 1927 (rue Esquermoise, 34).
L'administrateur (Sources Larigot)
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31/01/05-Contribution de (Pseudo) fraguy
"bonjour, je possède une
clarinette Cabart(depuis peu) et je ne trouve pas trace de cette entreprise
sur le net ; apparemment elle aurait été reprise par F.Lorre
en 1974 (hautbois). Quelqu'un aurait il des informations sur les clarinettes
Cabart ou sur la manufacture Cabart? Merci"
fraguy
Répondre
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Bonjour,
Comme dirait le New Langwill Index "L'emploi de ce nom par différentes
personnes à différents moments dans différents endroits,
laisse la place à la confusion et l'erreur!".
Cabart établit en 1842 à Paris. Ce nom fut encore utilisé
en 1946 par un fabricant revendeur français. Entre temps le nom
fur associé à Thibouville, Béranger et aussi employé
seul vers 1893 pour désigner les instruments de qualité
de "Thibouville-Cabart"
L'administrateur
La marque cabart était utilisée par la maison Thibouville-Cabart
sous l'administration de Pierre Thiberville gendre successeur, comme marque
de qualité supérieure et distribuée à Paris
par Louis bas de l'Opéra lui aussi gendre successeur et associé
avec P Thiberville. La manufacture était située rue félix
Hulin à Ezy sur Eure (27).
Membre anon
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31/01/05-Contribution de (Pseudo) cheyen
bonjour
Mon pere vend un violon jean St ievig maitre Luthier 8 rue estivant MIRECOURT
il est de 1946 et porte le numero 747. pouvez vous s'il vous plait me
donner des renseignements .
merci cordialement
Répondre
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Malheureusement le nom que vous nous donnez ne nous aide
pas. Revoyez l'orthographe il manque sans doute quelque chose.
L'administrateur
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26/01/05-Contribution de (Pseudo) pat
Bonjour à tous, je suis à la recherche
de renseignements(année de construction,valeur...) sur un cornet
couesnon médaille d'or à l'exposition universelle de 1889
dans son étui d'origine.
pat
Répondre
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Bonjour,
Couesnon, un des plus grands fabricants d'instruments au monde, en terme
de quantité en premier lieu. Les instruments fabriqués vers
1910 comportaient encore la date de l'expo de 1889. Ceci dit la meilleur
façon de le dater serait de regarder au milieu de ce que l'on appelle
la grenade : un petit ovale surmonté d'une touffe. Deux chiffres
normalement apparaîssent correspondant à l'année de
fabrication. S'il n'y a rien c'est qu'il a été fabriqué
en 1900. Cliquez " ICI
" pour voir un exemple de grenade.
26-01-05 Lamig
Bonjour,
Votre nouvelle description aide d'avantage : l'estampille G. A. (Gautrot-Ainé
le beau-père de Couesnon) et l'adresse 94, rue d'Angoulème
à Paris. En regardant de plus près vous devriez trouver
cette fameuse grenade. Il est vrai que tous n'en comportaient pas.
De 1884 à 1888 : "Couesnon, Gautrot & Cie" , au 94,
rue d'Angoulème.
De 1888 à 1937 : "Couesnon & Cie", au 94, rue d'Angoulème
et ensuite "Couesnon SA" rue Lafayette".
On peut donc penser raisonnablement à une période de transition
se situant fin XIXème ou tout à fait début XXème.
Je pense qu'avec une petite restauration il pourrait reprendre du service
ou alors le mettre dans une vitrine après un petit polish.
(Sources New Langwill Index)
L'administrateur
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12/01/05-Contribution de (Pseudo) lacimer
Bonjour,
J'ai eu l'occasion d'avoir récemment entre les mains deux clarinettes
basses. L'une portait l'estampille OLDS (USA) et l'autre Martin frères
(France) ; étonnantes par leur ressemblance, à me demander
si la Olds ne serait pas un "stencil".
Quelqu'un aurait la réponse?
Merci
Lacimer
Répondre
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Bonjour,
Effectivement, votre clar basse Olds a été probablement fabriquée
par Martin-Frères sans estampille ou bien estampillée Olds
en France et exportée aux USA pour Olds. Chose assez courante qui
vaut aussi pour d'autres facteurs comme :
Conn qui se fournissait chez Kolhert à Graslitz ; Carl Fisher chez
Buffet ; Penzel Müller chez Thibouville, et bien d'autres.
Amitiés.
Pierre
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04/12/04-Contribution de (Pseudo) foxaso
Je recherche des renseignements sur le
retamponnage des saxophones,méthodes et techniques employées.
y a t'il un site traitant ce sujet. merci d'avance!.
Répondre
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02/12/04-Contribution de (Pseudo) zaouch
MASSPACHER: cet importateur, fabriquant
italien d'intruments éléctriques (Welson)était à
Paris jusqu'en 1984 (selon mes souvenirs) un grossiste en tous types d'instruments
(entrepôt derrière la gare du nord, magasin et école
de musique dans le passage du grand cerf donnant sur la rue St Denis).
Il importait des saxes fabriqués par Grassi et surtout Weltklang
et estampillés à sa marque. Les guitares à son nom
ont été au moins un temps fabriquées en France par
un artisan parisien (chez qui j'en avais acheté directement une
en 1964) mais ils vendaient également des marques presqtigieuses
(Estruch par exemple)
Répondre
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24/10/04-Contribution de (pseudo) julie
"MONSIEUR
pourriez-vous me donner des renseigement sur cette objet
(instrument à cordes très ancien) , de quelle provenance
et la valeur.
je vous remercie a l'avance
mes salutations
Répondre
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Réponses: |
Bonjour,
Votre instrument est une vièle Sarangi et se joue donc avec un
archet. Celui-ci frotte les cordes mélodiques principales (accordées
en Do, Sol, Do, Ré) tandis que les autres résonnent par
sympathie. Il se joue assis sur le sol les jambes repliées, le
chevillier (tête du manche) appuyé contre l'épaule
gauche et la caisse sur les cuisses, l'archet est tenu par la main droite.
Il dépasse rarement les 70 cm de hauteur et certains modèles,
plus décoratifs, présentent un chevillier sculpté
en forme de cou de cygne..
C'est le principal instrument à archet de l'Inde du Nord et du
Pakistan. Il accompagne le chant dans la musique traditionnelle par
des musiciens des castes inférieures ou des musulmans. La dater
est chose difficile car déjà utilisée il y a un
siècle et encore à notre époque.
(Sources : Extraits de "Les instruments de musique dans le monde"
de François-René Tranchefort)
L'administrateur
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05/10/04-Contribution de (pseudo) jmpons
"Clarinette verte.
J'ai un problème avec ma clarinette Couesnon.. Cette clarinette
a un pavillon en bakelite qui avec la chaleur et le temps a tourné
du noir au vert fonçé. Savez vous comment faire redevenir
noire la bakelite. Connaissez vous quelqu'un qui sache manipuler cette
matière ou qui puisse me renseigner ? Merci,
05/10/04 jmpons"
Répondre
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Réponses: |
Bonjour,
J'ai personnellement eu le même problème avec le barillet
(d'ailleurs pourquoi juste le barillet alors que toutes les autres parties
me semblent être constituées de la même matière!?)
d'une clarinette "Commodore".
J'ai tout tenté en passant par l'alcool, le dissolvant, le white
spirit, etc...La couche verte est en profondeur mais pas trop. J'ai tout
d'abord retiré les deux bagues de bordure et ensuite utilisé
du papier de verre grain 400 pour dégrossir ensuite du 600 et de
la laine d'acier extra fine. J'ai retrouvé sa brillance d'origine
en frottant énergiquement avec un chiffon inbibé d'essence
de thérébentine.
Comme neuf et sans dommage!
06/10/04 clarin
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25/09/04-Contribution
de (pseudo) hector
Bonsoir, est ce que vous pourriez me dire comment identifier les instruments
marqués C.MAHILLON BRUXELLES, s'agit il de Charles Boromée
Mahillon ou Victor Charles Mahillon? Enfin, peut on se fier aux numéros
de série marqués sur le 2em piston? Merci d'avance.
Répondre
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Réponses: |
Faute de mieux (ce qui n'est déjà
pas si mal vous en conviendrez) j'utilise le Langwill dans un premier
temps et comme vous probablement j'ai pu noter que Victor Charles le plus
plus vieux des fils de Charles Borromée travailla avec son père
de 1865 à 1877. Il n'est pas fait mention de fabrication sous son
nom; les successeurs Charles et Fernand Charles auraient pu utiliser au
début du siècle le "C" de Mahillon avec leur propre
numérotation.
J'ai remarqué, sur d'autres instruments, une double numérotation
dont une personnelle de l'acheteur (armée, fanfare, etc) notée
par lui-même ou noteée par le fabricant sur sa demande.
Merci aux membres avisés de compléter
25/09/04 l'administrateur
merci de votre réponse. J'ai trouvé quelques
éléments supplémentaires dans "le dictionnaire
des facteurs d'instruments de musique en Wallonie et à Bruxelles
du 9e siècle à nos jours" mais rien de très
précis, dommage...
25/09/04 hector
J'ai consulté l'essai de classification des facteurs
belges... de Jacques Cools, rien de plus.
Pouuriez-vous nous transmettre les quelques infos supplémentaires
dont vous parlez?
25/09/04 l'administrateur
J'avais effectivement regardé, rien...
Pour les infos supplémentaires, cela va être difficile car
il y a bien 3-4 pages de dictionnaire sur Mahillon père, frères
et fils !
Ce que je souhaite trouver, c'est une liste de numéros de série
avec les années correspondantes. Je vais essayer de contacter le
Musée instrumental de Bruxelles, on verra bien.
Merci.
25/09/04 hector
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23/09/04- Contribution de (Pseudo) guilmore
Bonjour à tous.
Concernant les guitares SELMER j'ai remarqué que sur certains sites
Internet américains, l'on pouvait lire "Archtop" à
propos de la forme bombée d'une partie de la table. Certains même
ajoutant "beautifull...archtop!", comme si il s'agissait d'une
forme naturellement pensée par le fabricant.
Un membre aurait-il une traduction sur ce terme et me dire si cette forme
bombée était conçue au moment de la fabrication ou
s'il ne s'agissait pas plutôt de déformation résultant
de la trop forte traction des cordes et de la faiblesse des barres.
Merci"
Répondre
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-"Bonjour, je pense que l'on peut dire, en toute
modestie, qu'il n'ait d'expert à 100% en ce monde. Le terme "archtop"
n'est propre qu'aux instruments dont la table (et le fond) a été
mise en forme bombée ou creusée par l'intermédiaire
du rabot du luthier comme les violons par exemple.
Ce n'est évidemment pas le cas pour les guitares Selmer. Leurs
tables présentent un galbe, résultant d'un travail de lutherie
aussi, créé par une fine cassure sur la largeur de la face
intérieure de la table au niveau du chevalet".
Bien à vous
23/09/04 François Charle
Auteur de : "Histoire des guitares Selmer et Maccaferri"
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07/09/04- Contribution
de (Pseudo) plessi
Bonjour,
Quelqu'un pourrait me dire quel modèle de micro utilisait Django
Reinhardt.
Merci
Répondre
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Réponses: |
Django Reinhardt, après diverses tantatives pour
electrifier son instrument, adopta le micro Stimer ST 48 peu de temps
après sa sortie sur le marché.
Ce fut l'ingénieur français Yves Guen, grand amateur de
musique, qui a réalisé et mis envente en 1948 le fameux
ST.48, le premier micro magnétique de production française
adapté pour les guitares Selmer et ensuite Di Mauro, etc...il prit
en compte les dimensions et la forme ovale des rosaces des guitares Selmer.
Actuellement quasi introuvables, sinon à des prix exorbitants,
le luthier Maurice Dupont eut la géniale idée de reprendre
la marque et de reproposer deux modèles (reproduits en répliques
fidèles) dont le ST.48 pour 230 Euros.
08-09-04-pintor
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07/09/04- Contribution
de (Pseudo) plessi
Qui est Martenot et que fit-il?
Répondre
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Réponses: |
Après une première série de recherches,
Maurice Martenot présenta au public, à l'Opéra de
Paris, en mai 1928, son instrument radioélectrique. Ce fut un triomphe.
Les recherches se poursuivirent, l'instrument progressa, l'évolution
de la technique électronique incita l'inventeur à transistoriser
ses ondes.
Le créateur n'a jamais cherché à imiter le timbre
des instruments traditionnels mais à créer, au contraire,
des sonorités nouvelles.
Grace à l'inertie pratiquement nulle de l'électricité,
les Ondes Martenot permettent d'agir avec la plus grande subtilité,
suivant une progression infinitésimale, sur tous les paramètres
de l'expression musicale : hauteur, puissance, timbre, attaque et durée.
Les ressources nouvelles apportées à l'expression musicale
par les Ondes font de cet instrument électronique l'une des principales
découvertes de la facture instrumentale du XXème siècle.
Des centaines de compositeurs ont déjà écrit pour
les Ondes Martenot dont les possibilités expressives s'imposent
maintenant dans l'orchestration moderne.
08-09-04 lachen
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29/08/04-Contribution de (Pseudo) x-man
bjr ...je suis a la recherche de quelquen chi peut eventuelmant
me faire une estimation .... saxo E BEAUGNIER nantes paris ...n. de serie
7374 trouve dans une cave en toute bonne etat
Répondre
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Réponses: |
The Beaugnier factory was a small saxophone
factory in France which produced hand-crafted saxes in very small numbers.
The company was owned by Leblanc who was forced to close the Beaugnier factory,
end 60's, but still followed to produce until 1973 under its name.
Yours, with such serial number, was certainely made end of 60's..
29-08-04 L'administrateur du site.
La firme Beaugnier était une manufacture française
de saxophones renommée pour la qualité de son travail et
ne produisit qu'en très petite quantité. Elle fur reprise
par Leblanc qui fut contraint de fermer l'usine fin des années
60. Elle poursuivit néanmoins cette production jusqu'en 1973 sous
son propre nom.
Le votre, avec le N° de série communiqué, daterait de
la fin des années 60.
29-08-04 L'administrateur du site.
merci de votre rapidite e de votre conseille ...
me pour le moment je ne sais pas ancor la valeure exacte de cette intrumentcar
il et vraimant en toute bonne etat ...je voudre savoire pas vous meme
+ o -
le prix .... car je fait deja une offre au proprietaire
et je croix che sur cette domaine cette tres difficile
de savoire la valeur jouste ....escusez moi de mon movaise francais me
je suis etranger .. merci d'avance vous etes pour moi de grande aide ....
29-08-04 x-man
Vous ne trouverez personne pour vous dire le prix de cet
instrument sans l'avoir touché ou au moins vu.
Pour ne pas avoir été joué pendant longtemps, même
s'il vous paraît en très bon état, vous aurez à
changer les tampons, les lièges, peut-être quelques ressorts
et le faire nettoyer certainement, un débosselage?
Cette remise en état chez un professionnel coûte entre 350
et 450 Euros. Cette somme et peut-être aussi celle du transport
devront être ajoutées au prix d'achat. Tout ceci sera à
comparer raisonnablement avec votre budget personnel et votre réelle
envie d'acheter cet instrument.
C'est, en l'état des informations que vous m'avez transmises, à
peu près tout ce que je peux vous en dire.
29-08-04 L'administrateur du site.
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19-08-04-Contribution
de (Pseudo)bassos
Bonjour,
J'ai
un problème technique récurrent sur ma basse Couesnon : Sitôt
après avoir nettoyé les pistons ils frottent de nouveaux et
parfois même se coincent. Ca m'ennuie car je ne joue pas avec sérénité
et suis fréquemment obligé de m'arrêter. Par ailleurs
je n'ai pas les moyens de m'en racheter une autre et la remettre en état
risque de me faire dépenser pas mal d'argent. Que puis-je faire techniquement
qui serait soit à ma portée, soit à la portée
d'un ami qui bidouille. Merci
Répondre
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Réponses: |
C'est pas évident s'il
reste de la limaille, et il y en a souvent, à l'intérieur
des tubes annexes et qui reviennent se promener dans les cheminées
de pistons. L'idée serait d'abord en retirant toutes les pompes d'accord
et les pistons, de passer un coup de Karcher (!) dans les tubes par tous
les bouts.
Bon courage
20-08-04-arceo
Pour compléter imprégnez d'huile un chiffon
que vous ferez pénétrer, en le poussant avec un bâtonnet
ou un crayon, à l'intérieur du tube en ayant pris soin au
préalable de dévisser la capsule qui se trouve à
l'autre extrémité et d'effectuer plusieurs aller et retour
à l'intérieur ainsi qu'en le faisant tourner sur lui même.
Renouvelez cette opération en retournant l'instrument et en utilisant
à chaque fois une partie propre du chiffon. (attention de ne pas
perdre le ressort!).
L'autre système efficace (éventuellement complémentaire)
est d'utiliser un aspirateur : Mettez un tissu propre sur l'embout (en
guise de filtre) et réduisez son extrémité en l'enveloppant
avec la main que vous poserez sur le tube du piston.
Quant au piston, essuyez le avec un chiffon propre enduit d'huile (achetée
chez un spécialiste des cuivres) et passez celui-ci par les trous
en plusieurs aller et retour. Profitez en pour faire la même chose
aux autres tubes de pistons et pistons.
Pour finir enduisez bien d'huile (allègrement!) tous les pistons
juste avant de les replacer.
Ces opérations sont nécessaires lors d'un usage intensif,
ainsi vous préserverez l'instrument dans le meilleur état
de jeu possible très longtemps.
ATTENTION : Toujours éviter de faire tourner les pistons à
l'intérieur du tube! C'est souvent cela la cause d'usure prématurée
et de formation de poussières et de débris métalliques.
20-08-04 mappri
C'est clair que les pistons souffrent à force de
frotter. Ils sont même peut-être rayés et usés.
Voyez un restaurateur (faire plusieurs devis) pour qu'il leur mette une
couche mince de nickel ou d'argent afin de combler les rayures. Ca doit
pas coûter trop cher. Faire en sorte qu'il puissent encore coulisser
dans les tubes.
20-08-04 primas
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19-08-04-Contribution de (Pseudo)Ed.Hos
bonjour, je possede un sax alto Millereau(breveté
du conservatoire, "fabrication artistique), comme la vignette photo
qu'il y a sur votre site, mais il n'y a pas de numéro de série.
Cet instrument a-t-il une valeur ? Merci et bravo pour votre site.
Répondre
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Réponses: |
Merci bien pour vos compliments sachant qu'il reste encore
beaucoup de travail pour qu'il soit parfait.
La marque Millereau sur des saxophones figura de 1878 à 1938, période
au cours de laquelle l'entreprise changea de mains par succession et rachat.
Ce que l'on retient de Millereau sont ses instruments dits à "Système
Millereau", "compensateur" et "Système Chaussier".
En général ces perfectionnements sont portés près
de la marque. L'adresse (que vous ne mentionnez pas) pourrait dater l'instrument
assez précisément aussi.
Ormis les instruments à systèmes particuliers, la marque
n'attire pas (encore!) les collectionneurs (ils ont tort j'en suis sûr!).
20-08-04 L'administrateur du site.
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17-08-04-Contribution de (Pseudo)yuilmo
Bonjour à tous,
J'ai une flûte Leblanc métal argenté à laquelle
je voudrais adapter une patte de Si (Leblanc aussi). Pourrais-je être
certain qu'il n'y aura aucun problème d'adaptation?
Merci pour votre (vos) réponse.
Répondre
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Réponses: |
Pour ce qui est de ta patte de Leblanc, bien que n'étant
pas spécialiste des sytêmes Boehm, je peux te dire qu'il
faudrait savoir de quand elle date environ ( dur de faire un bidouillage
anachronique....numéro de série ?).
Ensuite, il me semble que les flutes à patte de Si ont une clé
de correspondance pour actionner la clé sur la patte. La tienne
en a t'elle une?
Enfin, et là faut se renseigner auprès d'un spécialiste,
j'ai peur que le corps principal d'une flute à patte de Si ait
le corps principal légèrement modifié (pour que toutes
les notes soient justes, à la façon des corps de rechange
sur clarinettes anciennes).
19-08-04-lebret
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06-08-04-Contribution de (Pseudo) ritou
On me propose une guitare manouche style copie SELMER
portant une etiquette MASSPACHER, avec une excellente sonorite. Je ne
connais pas cette marque, ni la date de fabrication. Avez-vous des informations
?
Merci d'avance.
Répondre
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Réponses: |
Pour avoir l'illusion visuelle de posséder une
Selmer!...et encore, de loin!
Je ne connais Masspacher que pour ses vents fin XIXème. Les chaînes
chinoises fabriquent à tour de bras en ce moment...pourquoi pas
utiliser ce nom!...ou d'autres comme ceux qui fleurissent actuellement
sur Internet.
Cordialement
16/08/04 L'administrateur
J'insiste car, dans ce cas on ne peut accuser la Chine
ou tout autre nation d'Extreme-Orient car il s'agit d'une manouche ancienne
artisanale. D'autre part, j'aimerais comprendre pourquoi la lutherie artistique
Masspacher 39, passage du Grand-Cerf 145, rue Saint Denis Paris n'aurait
fabrique que des instruments a vent ? Il existe encore des violons Masspacher.
Pouvez-vous m'eclairer ?
17/08/04 ritou
Bonjour,
Il est vrai que tout mettre sur le dos des copistes asiatiques (pour généraliser)
est chose facile mais pas sans fondement et de plus en plus vraie, hélas
(pourquoi hélas d'ailleurs? n'est-ce pas la concurrence qui motive
et stimule nos luthiers?). La qualité de leur fabrication devient
redoutable!
Le dernier 1/4 du XIXème siècle à Mirecourt a traversé
une grande crise économique et de confiance au profit d'autres
villes.
Bon nombre de luthiers vosgiens pour tenter de s'en sortir continuèrent
à fabriquer et vernir entièrement leurs instruments mais
signés par d'autres auteurs ou marchands de Bruxelles, Lyon ou
Paris.
Masspacher, que l'on situe fin XIXème exerçant à
Paris, fut revendeur d'instruments à vent comme des flûtes,
des trompettes et de cornets mais aussi...de violons!
La fabrication des guitares Selmer débuta en 1932 supervisée
par Maccaferri et il me semble que Masspacher n'existait déjà
plus à cette époque.
(Sources : New Langwill Index-Tony Bingham / Dictionnaire Universel des
luthiers-René Vannes / 1ère rencontre de Mirecourt, Colloque
historique des 9 et 10 mai 1998)
L'énigne du jour sera : qui a donc fabriqué votre guitare
en copie Selmer?
D'autres membres auraient-ils la réponse?
18/08/04 L'administrateur
Di Mauro et Favino signaient-ils toutes
leurs copies Selmer?
18/08/04 brega
"Je constate qu'il y a contradiction entre Masspacher
(ferme avant 1932) et copies Selmer (produites apres 1932). Dans l'hypothese
ou l'etiquette Masspacher serait une piece rapportee (elle a cependant
l'air d'epoque dans cette guitare...) on peut s'attaquer a un autre indice
d'identification : le cordier grave a la danseuse, qui se vend actuellement
encore chez RF Charle comme les autre cordiers copies Selmer. Peut-on
savoir quel luthier l'utilisait car je ne l'ai vu sur aucune photo des
vintages Di Mauro, Favino, Busato... Il y a encore du grain a moudre.
Grand'merci a ceux qui s'interessent a mon "cas".
20/08/04 ritou
Cher Ritou,
Somme toute Masspacher a mis ses étiquettes dans le fond de ses
guitares et comme l'explique François Charle dans son très
bel ouvrage "Guitares Selmer, Maccaferri", bon nombre
de luthiers se mirent à copier les modèles Selmer sous leur
propre marque et probablement de façon anonyme pour des revendeurs
de guitares. Voici une partie de texte du livre de Francois Charle qui
met en lumière ce que je viens de vous dire :
....Dès son apparition elle eut un grand succès (la guitare
jazz petite bouche 14 cases extérieures), mais son prix était
plus important que le prix moyen d'une guitare de l'époque. Les
autres fabricants de guitares subirent alors une forte demande de la part
des guitaristes pour des guitares en copie. A cette époque de nombreux
luthiers d'origine italienne étaient venus s'installer à
Paris et fabriquaient, banjos, mandolines et guitares. Les premiers à
avoir copié les guitares Selmer furent certainement Jacobacci et
Di Mauro. Puis Busato, Olivieri, Anastasio, Pappalardo, Favino et quelques
autres fabriquèrent leurs modèles. Certains luthiers de
Mirecourt comme Patenotte et les frères Gérome firent également
de nombreuses guitares à la manière des Selmer. Aujourd'hui
et après les tentatives japonaises, de nombreux luthiers aussi
bien en France qu'à l'étranger continuent de les copier.
Seul Maurice Dupont en réalisant de vraies copies s'approche des
originales...."
Sources : "L'histoire des guitares Selmer, Maccaferri"
de François Charle.
06/09/04 L'administrateur
Bonjour
Il serait juste de modifier la dernière phrase de ce passage. Mon
livre a été écrit il y a 5 ans maintenant. On ne
peut plus dire aujourd'hui, que seul Maurice Dupont réalisent des
copies très proches mais de nombreux fabricants le font, tels Dell
Arte, John LeVoi, Killy Nonis, Stefan Hahl et d'autres.
Bien à vous
06/09/04 François CHARLE
17 Galerie Véro-Dodat
75001 PARIS France
L'importateur aux USA des guitares Maurice Dupont aurait
eu maille à partir avec ce dernier. Il a décidé de
rompre le contrat qui les liaient car la qualité de ses instruments
s'était détériorée. De plus il ne pu jamais
le joindre et ne reçu plus de réponses ni à ses courriers,
à ses mails et nombreux coup de fils.
Lu sur le site de l'importateur vraiment pas content, content!.. qui en
a rempli toute sa page d'accueil.
Un démenti?
06/09/04 part2
Est-ce bien de ne pas citer le nom
de l'importateur ? car celui du fabricant l'est !. Colporter et faire
foi à des infos non vérifiées c'est indirectement
faire de la pub à quelqu'un qui n'en a pas besoin mais aussi prendre
le risque de diffamer!
06/09/04 L'administrateur
Voir contribution N°102 pour "Masspacher"
02/12/04 L'administrateur
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17/05/04-Contribution de (Pseudo) Camors
Un lien interressant
à éventuellement retenir Dictionnaire des musiciens danseurs,
luthiers et facteurs d'instruments de musique nés, domiciliés
ou de passage à Dunkerque 1700 1914 http://graal.asso.free.fr/accueil/declerck/
Répondre
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Réponses: |
- Bonjour,
Le New Langwill Index indique 4 facteurs d'instruments dont "Bossu"
que je n'ai pas vu dans le dictionnaire "Declerck". Par contre
Il est mentionné dans ce même dictionnaire deux orthographes
pour un autre facteur : "VERROU" et "VERRON", distinction
non précisée sur le Langwill.
La bibliographie désignée sur le Langwill concernant ce
facteur est "Leclerck" et non "Declerck" (probablement
une erreur d'impression. Le préposé à la rédaction
du Langwill serait-il un parent de celui de l'Etat-Civil de Dunkerque?)
1705/04-BRIGNO .
-Ce dictionnaire (merci à l'auteur
pour ce travail, de fourmis) ne pourrait-il pas comporter un choix par
thèmes : Musiciens, danseurs, facteurs, etc..?
Je ne dispose pas du Langwill, merci au rédacteur de la réponse
précédente qui pourrait m'éviter une recherche alphabétique
fastidieuse (de A à X) en citant les deux derniers facteurs non
nommés dans sa réponse.
17/05/04-pouet
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11/05/04-Contribution de (Pseudo) Camors
Bonjour, Je recherche des renseignements
concernant le facteur d'instruments à vent Mercadier à Paris
et notamment en ce qui concerne les bois. Est il à rapprocher de
Mercadier à Toulouse qui lui oeuvrait dans les cuivres ? Restaurant
actuellement plusieurs de ces clarinettes en buis très clair (teintées
en noir), je situe approximativement leur production au tout début
du 19ème car ces modèles ne bénéficient pas
du système 13 clés d'Ivan Muller apparut à compter
de 1811
.. Elles sont revêtues sur le pavillon des 2 grenades
suivantes : " Mercadier Paris" & "Qualité Excelsion".
Le pavillon et les 2 parties du corps sont frappés de la lettre
B. Aucun signe particulier en revanche sur le barillet. Un passionné
peut il m'éclairer de ses lumières sur les clarinettes dont
il s'agit ? J'avoue mon ignorance, toutefois j'avance la piste suivante
P.L Mercadier auteur d'un Traité Elémentaire d'Harmonie
chez Perrotin Paris 1861 pourrait il ne faire qu'une personne
avec le luthier objet de mes recherches. A confirmer ou infirmer; d'avance
merci de votre contribution.
Répondre
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Réponses: |
"Début d'un dialogue qui , je l'espère,
trouvera sa suite dans ces prochains jours avec l'aimable participation
d'autres membres :
Je n'ai personnellement jamais vu le mot "facteur" près
de celui de "Mercadier". Ses instruments auraient pu être
fabriqués par Couesnon comme beaucoup de revendeurs de cette époque
et y faire poinçonner son nom. Chose courante. Courante aussi est
cette période de latence accentuée par certains utisateurs
des systèmes précédents avant qu'un nouveau produit
prenne vraiment sa place, si révolutionnaire soit-il.
J'ai noté 1812 pour la 13 clés d'Ivan Müller, mais
ne chipotons pas.
Sur quelques catalogues comme celui de Gautrot-Ainé & Cie de
1867 (fac-simile du Larigot N° X Spécial 1999) est présentée
toute une gamme variée d'instruments et notamment des clarinettes
allant de 6 à 14 clés. Il n'est donc pas impossible de penser
que votre Mercadier (celui des clarinettes) aie pu s'en procurer dans
le tout début du XXème siècle (source Langwill et
Larigot).
"Qualité Excelsior" voulait-il dire "Qualité
supérieure"?
B veut dire Si (pour Sib) ; Un autre Mercadier, du théâtre
Impérial lyrique fut essayeur de saxhorns altos, basses et contrebasses
pour les modèles Gautrot-Marquet (fac-simile du catalogue Gautrot-Ainé
& Cie de 1867, du Larigot N°X Spécial de 1999).
En conclusion (le terme est inaproprié!) je pense que Mercadier
de Toulouse et Paris ne font qu'un. Reste à savoir si l'auteur
du Traité et l'essayeur de saxhorn n'était pas aussi revendeur
d'instruments à vent."
12/05/04-L'administrateur du site
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08/04/04-Contribution de (Pseudo) nico
Bonjour à
tous, Je suis étudiant en musicologie. Je fais actuellement mon
mémoire sur la "Facture des cuivres en France". Je cherche
par tous les moyens des infos, mais pour être franc avec vous, c'est
pas facile. Les ouvrages parlant explicitement du sujet sont très
rares. Il y a évidemment les ouvrages de PIERRE Constant (véritable
trésor) mais à part ça, c'est plutôt mince.
Je cherche des personnes connaissant tous types d'infos, des adresses
email, téléphones, ce qui pourrait m'aider. Pour les grandes
boîtes tel que Selmer, Courtois.. (il suffit d'aller sur leur site)
mais pour les plus petites ou celles qui ont fermé, c'est pas la
même chose. Mon but en ce moment est de répertorier tous
les facteurs de Cuivres (trompettes, cors.....à embouchure)en France
du moyen-age à aujourd'hui. Si vous êtes des descendnat de
facteur, n'hésitez pas à me contacter, si vous voulez m'aider
vous êtes la bienvenue? Merci à tous Nico, et vive la musique
!
Répondre
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Réponses:
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C'est certain, un travail comme celui que vous proposez
de faire est énorme. Certains s'y sont essayés et ne purent,
en écrivant leurs dernières notes, être sûrs
d'en avoir fini :
"Such a work is never finshed : it must, however,pass for such as
soon as the author has done his utmost, considering time and circumstances."
( Un tel travail n'est jamais fini : il doit, toutefois, être considéré
comme tel aussitôt que l'auteur à rédigé sses
dernières notes, en fonction du temps et des circonstances.) C'est
ainsi que débute la préface de l'ouvrage de William Waterhouse
"The New Langwill Index" édité par Tony Bingham
à Londres. Son sous-titre est : "Dictionnaire des instruments
de musique à vent, fabricants et inventeurs".
Une somme de travail titanesque; Aux dires de certains spécialistes
il serait toutefois préférable d'user du conditionnel quant
à l'affirmation de dates, de lieux et de parentés. Evidemment
le soucis est de ne pas pouvoir comparer car ce dictionnaire généraliste
(recencement des acteurs du domaine des instruments de musique à
vent du monde entier) est unique.
L'association ACIMV (Association des Collectionneurs d'Instruments de
Musique à Vent) regroupe quelques 250 membres. Tous ont une même
passion pour l'instrument et son histoire et spécialistes à
des degrés et en des domaines très divers (facteurs, systèmes,
histoire, etc.). Le bonheur serait pour vous de pouvoir joindre son président
Monsieur Bruno Kampmann de grande réputation. Un bulletin (dit
"a périodicité variable") le "Larigot"
est édité par l'association. Procurez-vous de toute urgence
l'essai de classification des facteurs, ouvriers, inventeurs, essayeurs,
marchands...français de Jacques Cools en deux volumes (Spécial
N° XI de seprembre 2000 et spécial N° XIII de mars 2002).
Vous trouverez une sélection d'adresses de librairies spécialisées
dans la rubrique du site "CONTACTS-Liens-Librairies
musicales" (coût : 750 frs en 2001).
Les coordonnées de l'ACIMV se trouvent dans la rubrique du site
"CONTACTS-Liens-Associations-ACIMV".
Bon travail
16/04/04 L'administrateur du site
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28/03/04-Contribution de (Pseudo) cat
j ai trouvé une trompette dans mon jardin sur
cette trompette est inscrit trompette exposition universelle de paris
1900 hors concours membre du jury couesnon et cie fournisseur de l armée
94 rue d angouleme paris E.buffet premier prix du conservatoire breveté
SGDG paris je voudrais savoir si cette trompettte a une valeur et laquelle"
Merci
Répondre
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Réponses:
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Trois informations permettent de dater au plus juste :
1/ La date de l"exposition Universelle de Paris en 1900 portée
sur l'instrument.
2/ La firme Couesnon occupa le 94, rue d'Angoulème à Paris
de 1888 à 1937.
3/ La marque Buffet (l'initiale portée devant ne serait-elle pas
plutôt "F" que "E" correspondant probablement
à "François" ?) associée au nom Thibouville
fut reprise par Couesnon en 1895 (d'après le New Langwill Index).
En principe chaque reprise d'entreprise s'accompagne généralement
d'une période de transition commençant par la revente partielle
du stock d'instruments restants, sous la marque de l'ancien fabricant.
Le reste du stock encore disponible étant vendu avec la marque
du nouveau propriétaire ajoutée.
En aparté, les outils de gravure de l'ancien fabricant étant
disponibles au nouveau, il était aisé à ce dernier
de rajouter "F (E?) Buffet sur ses propres instruments (plus de notoriété?).
L'on pourrait donc considérer raisonnablement la période
proche du début de siècle (1900/1910 ?).
Une 4ème information résumerait l'ensemble :
N'y aurait-il pas un petit motif de forme ovale avec un toupet sur le
dessus (appelé grenade) avec 2 chiffres à l'intérieur?...ces
deux chiffres correspondent à l'année de fabrication!. Voir
photo en exemple " ICI
".
Nous ne faisons jamais d'estimation de prix. L'on peut juste dire qu'elle
est plus intéressante qu'une simple Couesnon fabriquée à
des milliers d'exemplaires.
Merci aux autres membres de bien vouloir compléter ou éventuellement
d'infirmer mon analyse. Je n'en prendrais pas ombrage:)
30/03/04 L'administrateur du site
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25/03/04-Contribution de (Pseudo) icirex
Où peut on trouver
de pièces de rechange pour sax sib (clapets ,feutres ,d'obturation
,ressort etc.
merci d'avance"
Répondre
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Tout dépend de la quantité
désirée. S'il s'agit de remettre en état "un"
saxophone je ne vois que la solution des revendeurs. Ceux-ci achètent
en gros et peuvent (ce n'est pas toujours le cas) revendre au détail.
Ex pour l'Alsace :
Dorlisheim (67)
Musique Au Logis - 19 r Division Leclerc - tel 03 88 47 90 99
Urmatt (67)
JazzAmy - 33, rue du Lossen - tel 03 88 97 47 80
...
Et puis une trentaine d'autres dans le Haut et Bas-Rhin dont il vous faudra
faire le tri :
http://www.musicologie.org/breves/cours/01.html#Luthiers
pour les grosses quantités nous mettons en lien
sur notre site quelques grosses maisons pour les aiguilles et anches :
http://www.instrumantiq.com/pages_html/contacts_liens.htm#materiels
Et bien sûr pour les tampons, lièges, aiguilles et divers
:
Martin Chanu SA
27750 La Couture Boussey
02 32 36 75 40
"chanu.com"
27/03/04 L'administrateur du site
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12/03/04-Contribution
de (Pseudo) avrile
Bonjour.
J'ai remarqué que vous annonciez l'ouverture prochaine d'une rubrique
"Vols d'instrument". M'étant fait dérobé
récemment toute une série d'instruments, me serait-il possible
de vous en communiquer la liste afin de la diffuser sur votre site et
peut-être avoir la chance de pouvoir les récupérer.
Merci à vous.
Répondre
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Réponses: |
L'idée d'une rubrique 'Vol d'instruments"
m'était venue il y a un an. Après réflexion, même
si l'idée est généreuse au départ, j'ai décidé
de ne pas la proposer et ceci, pour la raison suivante :
Si elle avait l'avantage de mettre en garde et d'éveiller la vigilance
de tout acheteur honnête, elle pouvait aussi avertir le voleur et
le rendre plus prudent. En ce qui me concerne je diffuse par courriel
à mes amis et professionnels de connaissance les infos de vols
que l'on me transmet. C'est ce que j'ai fait pour celui commis chez un
ami récemment. Je conserve avec moi lors de mes déplacements
quelques listes. Envoyez moi la vôtre et je
ferai tout mon possible pour la communiquer de façon restreinte
mais ciblée.
A bientôt
15/03/04 L'administrateur du site
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29/02/04-Contribution de (Pseudo) 2024dk
Grande brocante musicale et instrumentale
Dimanche 4 avril 2004
de 10h à 18h
à BEUVRY (62)
Salle des sports Albert Debeyre
rue Antoine de Saint Exupéry
échange et vente d'instruments, accessoires, partitions, ouvrages,
enregistrements audio, et de tout objet en rapport direct avec la musique
organisée par l'association Odeum
renseignements et inscriptions :
03 21 61 14 30 ou 03 21 64 07 71 ou 03 21 65 90 03 ou 03 21 65 16 51
Répondre
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11/02/04-Contribution de (Pseudo) basse
J'ai pris
la suite familiale : j'apprends à jouer d'un saxhorn ou basse en
si bémol (en do en ôtant la rallonge de coulisse) à
4 pistons (3 + 1) et je m'interroge sur cet instrument, dans la famille
depuis le début des années 1940. Pourriez-vous m'éclairer
sur son année de fabrication, le facteur d'instrument, même
si c'est de façon approximative ? Quelle en est la côte,
si elle existe ? Au vu des inscriptions gravées, j'ai quelques
idées, encore trop vagues. Sur l'instrument, sous le pavillon,
avec des typographies différentes et des ornementations pour certaines
lignes, voici ce que l'on peut lire. "1er grand prix de facture instrumentale"
"Médaille d'or 1900" "Adolphe SAX" "Fournisseur
de l'Académie Nle de Musique" "84 rue Myrha" "PARIS"
Sur le piston du milieu : "AD SAX PARIS 18399" Sur l'embouchure
: "AD SAX PARIS" D'avance merci pour vos réponses. Salutations.
Répondre
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Réponses: |
Le nom de la rue Myrrha détermine
celui du facteur Adolphe Edouard Sax, fils du célèbre facteur
Belge.
Né à Neuilly le 29/09/1859 et mort à Paris le 3/04/1945.
Il débuta en 1886 avec son père et lui succéda en 1894
(date de la mort de Adolphe Sax père) sous le nom de "Sax-Fils".
Sa carrière de fabricant d'instruments s'interrompa en 1928 par le
rachat de l'entreprise par H. Selmer qui continua d'utiliser la marque Sax
jusqu'en 1933.
(Sources : New Langwill Index)
Le nom de la rue Myrrha détermine aussi la période de fabrication.
Il occupa cet atelier de 1905 à 1928. Votre instrument avec le N°
de série 18399 daterait probablement d'après-guerre, aux alentours
des années 20 (avec toutes les précautions d'usage)
Je ne m'égare plus à coter (chiffrer) des
instruments. Au contraire de ceux du père, qui fut un inventeur,
il n'y a pas actuellement d'engouement de collectionneurs. On trouve assez
facilement et pour des prix assez modiques des instruments comme le vôtre.
Ceci dit, dans vingt ans les seuls "Sax" disponibles (en dehors
des vitrines des collectionneurs) seront ceux du Fils et d'autres membres
de la famille (frère et neveu du père).
Cordialement
12/02/04 Gilmor
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07/02/04-Contribution de (Pseudo) vramac
On dit que les anglais ne font rien comme tout le monde,
pour le coup ça se confirme avec leur mode de notation (A, B, C,
etc.).Pourquoi utilisent-ils un mode de notation différent du nôtre?"
Merci.
Répondre
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Réponses: |
J'aurais bien envie de confirmer le début de votre
message mais pour le coup (comme vous dites) c'est nous qui devenons singuliers
pour avoir modifié le mode de notation d'origine.
Le pape Grégoire le Grand durant le Vème siècle,
établit un style de musique (chant Grégorien) et codifia
les pratiques religieuses (prières, chants...). Il nomma aussi
les notes de musique par les premières lettres de l'alphabet :
A, B, C, D, E, F, G. Cette notation est toujours utilisée par les
anglo-saxons (pas seulement les anglais). Ces notes correspondent dans
la gamme latine à respectivement : la, si, do, ré, mi, fa,
sol.
08/02/04 Gilmor
Ut re mi fa sol la (le si venant plus tard) sont les premières
syllabes des vers d'un cantique que le moine Guy d'Arezzo eu l'idée
au Moyen-âge de donner comme nom aux notes de notre gamme "heptatonique)
Quid de l'antériorité de la notation alphabétique?
02/12/04 zaouch
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07/02/04-Contribution de (Pseudo) franic
Le club des ignorants vient d'intégrer
un membre de plus!
J'ai acheté trois cuivres et je ne trouve personne pour me dire
quelle est leur tonalité. De quelles façon sûre puis-je
le savoir?
Merci beaucoup pour vos réponses et pour ce lieu de culture (si,
si!)
Répondre
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Réponses: |
Réponse tardive, encore
utile ? Pour des instruments comme la trompette, le cornet, le bugle..la
tonalité est la note donnée par le son naturel le plus grave
que l'on peut obtenir sur l'instrument, SANS enfoncer aucun piston (ni allonger
la coulisse pour un trombonne. Il en est de même pour les autres j'imagine.
Attention aux anciens instruments : ils peuvent être à des
diapasons anciens,plus bas (435 ou même moins), ou ...450 au lieu
de notre 440 standard d'aujourd'hui.
25/02/05 marcq
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04/02/04- Contribution de (Pseudo) german
I have a Pelisson Guinot Blanchon & Cie. Baritone/Saxhorn(no
serial number).
I would like to know how old could be.
I can´t find many references of this instrument.
Thanks.
Avec mes sentiments les meilleures.
Répondre
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Réponses: |
According to my documentation, "Pelisson-Guinot-Blanchon
& Cie" was making instruments during a short time from 1905 to
1911.
In fact it wasn't rare at this time the manufacturers selling an old stock
or making instruments with the name they had before.
Then we should be very carefull in dating and the best is to be as larger
as possible; I will not take any risk if I say your instrument is dated
between 1905 and 1915.
"The story of this company begun 30 years before and in two places
in France : Paris and Lyon.
In 1875 known as "Pelisson Frères &Cie", successors
to Couturier; in 1900 a large factory in Lyon with 100 workforce ; later
also making saxophone ; 1905 as "Pelisson, Guinot et Blanchon"
; till 1931 as "Gaillard-Martel & Loiselet" successors;
Also listed at this time as "Blanchon & Cie" ; "A.
Pelisson" ; Guinot & Cie". "
(Sources : New Langwill Index)
A bientôt
04/02/04 Gilmor
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24/01/04-Contribution de (Pseudo) paco
Bonjour
Vraiment géniale cette rubrique.
N'a t-on déjà pas inventé un système démultiplicateur
qui permettrait de réduire la course des pistons des cuivres?.
Ramener cette course de parfois 3cm à 0,5cm. N'y gagnerions nous
pas en vélocité?
Si ça n'existe pas, je m'empresse de breveter mon idée!
Merci pour vos impressions.
Répondre
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Réponses:
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"Il existe effectivemùent des cuivres équipés
de pistons "short action". Mais quant à bidouiller un
système ....Dans le cas d'une réduction du mouvement du
doigt, cela se traduira aussi par une augmentation de l'effort nécessaire
(loi de conservation du travail !)donc je sais pas si on y gagne vraiment
?"
14/02/06 Kricho
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18/01/04-Contribution de (Pseudo) Gilmor
Bonjour à tous.
Quelqu'un pourrait me dire de quelle matière (s) sont constituées
les plaques de musique des bandonéons Alfred Arnold?
Merci
Répondre
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Réponses: |
"les plaques des bandos A.A. comme
les autres marques de bandos ont d\'abord été faites de
ce que l\'on appelait du zinc (en vérité un alliage de plomb???
de zinc et d\'antimoine (qui a la propriété de durcir les
métaux)), jusque dans les années 1915/20 en Europe, puis
la mode, l\'attrait du nouveau, et surtout le poids de l\'aluminium a
supplanté ce métal... Notamment pour les accordeons ou le
gain de poids futb tres apprecié! L\'aluminium a été
inventé avant 1900 ,il me semble ,mais des problèmes de
droits (américains), et donc de prix, en ont empéché
le développement rapide en europe... Sur des catalogues d\'instruments
dès 1920 des bandoneons avec plaques alu en options(plus chers)
étaient proposés à la vente...Ironie du sort, les
bandoneons anciens avec plaques \"zinc\" sont maintenant très
recherchés! A tel point que les fabrications neuves de bandos se
font actuellement presque exclusivement avec des plaques musiques en \"zinc\"!
Une éternelle discussion se prolonge depuis des années pour
savoir quel est la meilleure plaque et la bataille n\'est pas finie! Le
zinc semble actuellement l\'emporter pour des raisons de poids, justement,
qui garanti une bonne inertie sonore, qui permettrait une bonne transmission
des harmoniques sans vibrations parasites propres à la plaque,
ce la permettrait également une meilleure puissance de jeu et tenue
de cette puissance sans saturation....Et pourtant , j\'ai eu en main des
bandos alu, qui sonnaient merveilleusement bien, avec une sonorité
plus forte pour une moindre pression sur les soufflets....L\'avantage
des plaques zinc est aussi dans sa dureté superieure et est moins
sensible aux chocs et aux rayures, mais ca c\'est du domaine du luthier..."
linlin, le 23/08/07
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13/01/04-Contribution de (Pseudo) accord
Bonjour à tous et merci
pour votre espace utile.
J'ai hérité de l'accordéon de mon grand-père.
Il s'agit d'un Fratelli Crosio chromatique 120 basses non utilisé
depuis une vingtaine d'années mais toujours conservé dans
sa boite d'origine et dans un local sans humidité et sans variations
de température excessives. La date de la facture qui était
jointe de remise en état complète (changement des cuirs,
de certaines lamelles, nettoyage des mécaniques) prouve que l'instrument
a été peu utilisé et immobilisé peu longtemps
après cela.
Ceci dit, j'ai tenté d'en sortir quelques notes, juste pour voir
n'étant pas instrumentiste. Après toutes ces réparations
il devait fonctionner mais je n'ai réussi à en sortir que
quelques notes. Quelque chose empêche le son de sortir.
Je l'ai montré à un réparateur et sans même
l'ouvrir m'a annoncé de suite qu'il allait m'en coûter 750
Euros pour deux mois d'immobilisation!.
La question est : Y aurait-il quelque chose que je pourrais faire moi-même,
sans détériorer d'avantage, avant d'entreprendre une telle
dépense?.
Répondre
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De deux choses l'une si vous souhaitez le conserver. Soit
vous choisisez d'apprendre à jouer de cet instrument de façon
sérieuse (avec un professeur par exemple), soit il reste un élément
de décoration;
En commençant par la deuxième solution je dirais: ne l'apportez
pas chez un réparateur et ne faites rien dessus par vous-même.
Laissez-le tranquilement dans son coin protégé et pourquoi
pas, à dispo pour la prochaine génération!
La première solution est celle que je préfère car
les instruments doivent continuer à vivre au delà des générations,
et donc la meilleur.
Un devis, à l'appui de commentaires de restaurateurs pro, consiste
à estimer l'ampleur du travail par les pièces à changer,
la main d'oeuvre (très gros poste) et surtout les surprises évidemment
non quantifiables. Sans doute sur-estimé parfois mais aussi sous-estimé
dans bien des cas à cause justement de ces mauvaises surprises.
Ce qui vieillit mal dans le temps sont les matières textiles et
peaux qui se désagrègent ou sèchent, l'acier qui
rouille ou tout autre métal qui peut se dilater, le bois qui se
déforme ou sert de garde-manger à certaines bestioles.
Avant de vous décider à le porter chez le restaurateur,
puisque vous envisagiez d'y consacrer un peu de temps, faites quelques
vérifications de base comme :
-Tester l'étanchéité des soufflets en suspendant
l'instrument par un côté. Si le soufflet s'ouvre rapidement
et complètement c'est qu'il y a une ou plusieurs fuites.. Dans
un premier temps posez la main ou la joue contre les parois du soufflet
en action en inspectant toute la surface afin de déceler les prises
d'air. Faites des repères aux endroits détectés.
Ensuite démontez le.Un examen de l'intérieur du soufflet
déployé, dans un endroit très éclairé,
confirmera les fuites par des filets de lumière et peut-être
vous en fera découvrir d'autres. Prenez des pièces de tissu
de coton que vous collez à l'intérieur du soufflet avec
une colle "spécial tissu".
-Vérifiez l'elasticité des languettes de cuir sur les sommiers.
Ci celles-ci ne sont pas déformées et paraissent sèches
vous pouvez les assouplir de la façon suivante. Dégagez
les sommiers (boitiers comportant les languettes en cuir et en métal).
Prenez une plume dont vous tremperez l'extrémité dans une
huile animal genre huile de pied de boeuf utilisée par les selliers
(retirez la surcharge en la pinçant avec un tissu). Enduisez les
languettes de cuir délicatement, sans déborder, sur les
deux faces en prenant soin de ne pas trop les soulever.
Bien sûr au delà de ces opérations mineures, cassez
votre tirelire et confiez votre instrument -et pas le contraire;)-.....
à un professionnel.
Bonne continuation
15/01/04 Gilmor
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02/01/03-Contribution de (Pseudo) malia
Entendu sur France Inter aujourd'hui
dans l'émission "2000 ans d'histoire" :
"Certaines Divas sous le Second Empire avaient une vie qualifée
de dissolue. Larousse disait à l'époque qu'elles transformaient
la scène en un lupanar. Une Diva nommée Marie Sas, maîtresse
à la fois du roi d'Espagne et d'Italie, voulait changer son nom
par celui de Marie Sax. Mal lui en prit. Adolphe Sax qui ne souhaitait
pas être assimilé aux frasques peu recommandables de cette
"demie mondaine", la menaça d'un procés. Ce qui
fit changer d'avis la dame".
Répondre
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28/12/03-Contribution de (Pseudo) zerlo
" Merci beaucoup pour les infos
que vous m'avez transmises concernant mon soprano Vercruysse et Dhondt
. Et quelle rapidité ... Pour info, il n'apparaît sur le
pavillon que la marque Vercruysse et Dhondt successeurs, maison Jean Dhondt
1888 et l'adresse.
" Un ami possède un Sax alto Selmer Bundy argenté dont
le N° de série est le 795146 et qui est en bon état
général. Il se demande s'il est intéressant de le
faire retamponner et restaurer. Je pense que oui mais n'ai pas d'information
par rapport à cette série. Qu'en pensez vous ?"
Répondre
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Le N° de série situe votre sax
dans les années 80/83. Vous ne dites pas si votre ami apprécie
de jouer avec. Si c'est le cas il doit le conserver surtout si, peut-être,
il n'a pas les moyens d'en acheter un autre. Sachez qu'une restauration
courante (tampons, lièges, nettoyage et réglage) coûtera
le prix de son instrument, remis en état, sur le marché
actuel. Autrement dit s'il souhaite s'en séparer ultérieurement,
il pourra récupérer la dépense de la restauration
mais guère plus. Vous pouvez imaginez aidément combien il
en tirera s'il souhaite le vendre en l'état.
Mon avis n'est pas universel :)
29/12/03-gilmor
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27/12/03-Contribution de (Pseudo) zerlo
" Je cherche des renseignements sur mon sax soprano
Vercruysse et Dondt, marque Lilloise si j'en crois ce qui est marqué
sur le pavillon. J'en joue depuis plusieurs années et le son est
très intéressant mais ... je n'ai aucune information sur
son origine."
Répondre
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Réponses: |
Vercruysse et Dhondt successeurs de Dhondt
début XXème. installé à Lille (59) rue de
Band Wedde et au 139, 143 rue de Paris de 1927 à 1959. Etait revendeur
(peut-être aussi fabricant) d'instruments de différentes
marques telles que Pierret, J.T.L. (Jérome Thibouville Lamy à
Ivry La Bataille -Eure-), Gaubert. Ces instruments étaient fournis
soit avec la marque du fabricant soit sans.
(Bibliographie : The New Langwill Index et le bulletion N° XIII du
Larigot ACIMV).
28/12/03-gilmor
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10/12/03-Commentaire de (Pseudo)
pesa
bonjour, je possède un bugle couesnon sib Monopole
Conservatoire. Quel est le prix moyen pour ce genre d'instrument ? Je
ne suis pas musicien et c'est un instrument de mon père que je
ne souhaiterais pas vendre mais estimer pour une indication personnelle.
Merci aux spécialistes !!!
Répondre
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Réponses:
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Notre réponse sera
toujours la même,... Excepté pour certaines marques dont
la côte actuelle ne fluctue qu'à peine avec les critères
couramment utilisés comme l'état général,
la finition, l'année, avec ou sans boite d'origine, le nombre de
pièces fabriquées, etc, mais plutôt par l'engouement
et l'effet de mode qui alimentent les caves et greniers des collectionneurs
créant ainsi un phénomène de pénurie. Voyez
les divers avis de membres qui ont répondu à la contribution
N°065 (vous pouvez cliquer) à
propos d'instruments de la marque Pierret et qui pourraient très
bien fonctionner avec votre instrument.
Les modèles "Monopole" de la marque Couesnon sont cités
sur un catalogue de cette marque de 1913 comme les plus chers (voir
Langwill p. 73). Vous ne posez pas la question mais il vous est possible
de connaître l'année de fabrication en observant certains
détails sur votre instrument comme sur cette photo " ICI
". Sachez enfin que Couesnon fut la marque la plus répandue
au monde rachetant toutes celles en cessation d'activités au début
XXème. Dans ces conditions on ne peut parler de pénurie!
10/12//03- gilmor
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09/12/03-Commentaire de (Pseudo) nimadu
J'ai vu que vous étiez fin connaisseur de la
marque Beaugnier. Je serai intéressé de dater mon saxo alto
Beaugnier et éventuellement de savoir où je pourrais obtenir
des pièces de rechange.
Répondre
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Réponses: |
Votre question est sobre et sans
détail. Notre réponse le sera tout autant : Le Langwill
dit, et repris par d'autres : "Beaugnier établi en 1927 en partenariat
avec Robert Siour." On devrait donc pouvoir dire que votre instrument
a été fabriqué entre 1927 et 1968! Quant aux pièces,
la piste la plus directe serait sans doute du côté des
anciens ouvriers Beaugnier, Leblanc et Dolnet. Sinon les brocs, les ventes
aux enchères (avec deux vous pourrez en faire un), les restaurateurs
qui peuvent vous en faire sur mesure. Complétez votre question
avec détails et photos
.09/12//03- gilmor
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20/11/03-Commentaire
de (Pseudo) Gilmor
A propos de Beaugnier: Méfions-nous des spécialistes!
Le conditionnel est une forme très utile lorsque l'on veut limiter
les risques d'erreurs en transmettant des informations non vérifiées
plusieurs fois, même provenant de "spécialistes".
Le Langwill ne suffit pas, ses infos sont à l'emporte-pièces
et souvent approximatives ou fausses parfois. Pour preuve la cessation
d'activité de Beaugnier à Mantes La Ville en 1950.
En fait Beaugnier a cessé son activité, à Mantes
La Ville, en 1967 (la Chambre de Commerces pourrait le confirmer). La
fabrication fut reprise par Leblanc avec le personnel de l'usine et continua
la production sous la marque Leblanc jusqu'en 73.
Dolnet (sous la direction de Mr Jumelin, marié à la fille
Dolnet) repris la production avec les ouvriers Leblanc, jusqu'en 86.
Dixit un ouvier embauché chez Leblanc en 68 que je pense plus digne
de foi que le Langwill. On va dire que mes sources sont sûres à
98 %, par précaution.
Vous ne manquerez pas, j'en suis persuadé, d'approfondir le sujet.
Si vous disposez à l'avenir d'infos supplémentaires (aux
sources sûres...le sont-elles vraiment?) Les autres membres, toujours
avides d'en savoir un peu plus, sont évidemment preneurs.
Répondre
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14/11/03-Commentaire de (Pseudo) stef
Bonjour,
J'aurais aimé que l'on me "parle" de mon Violon Sanctus
Seraphin II Venetijs anno 1730 fabriqué par Jérôme
Thibouville Lamy luthier à Paris.
Répondre
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Réponses: |
JTL fut un copiste, au
même titre que bon nombre de luthiers Mirecurtiens (habitants de
Mirecourt, dans les Vosges). Né de la fusion de trois grands luthiers
vosgiens (Husson, Buthod et Thibouville) dans les années 1870,
il devint dès 1875 le premier employeur de la ville (sic.colloque
historique des 9 et 10 mai 1998 de la première Rencontre de Mirecourt).
Il fabriqua de très beaux instruments et aussi d'autres "d'usine".
Votre violon ne peut être estimé que de visu et en l'ayant
entre les mains.
Deux violons identiques n'auront pas la même côte s'ils ont
un aspect distinct (déjà restaurés une première
fois, fentes de table, angles émoussés, ouies enfoncées,
déjà montés ou non, rayures, fournis avec accessoires,
certificat d'expertise, etc.).
Je ne saurais que trop vous conseiller de rendre visite à un expert
en lutherie. Malheureusement celui-ci sera Parisien:
-Serge Boyer 01 45 22 05 18
-Jean-Jacques Rempal 01 45 22 17 25
-Etienne Watelot 01 45 22 17 25
-Gilles Chancereuil 01 43 25 98 23
-Odile Vérot 01 43 87 19 76
-etc.
-Chambre Nationale des Experts Spécialisés : 01 45 58 18
00
-Syndicat Français des Experts en Oeuvres d'Art : 01 40 22 91 14
-Compagnie Nationale des Experts :01 40 51 00 81
Vous pourrez obtenir soit une simple estimation gratuite ou bien une expertise
complète payante.
L'idéal serait de visiter le plus grand nombre d'experts.
25/11/03 Gilmor
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14/11/03-Commentaire de (Pseudo) kissca
pourrais-je savoir quels sont les differents types d'ocarinia
(si il y en a) et leurs prix approximatifs. merci
Répondre
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Réponses: |
Pour résumer l'on
peut dire :
"Les ocarinas fonctionnent suivant le principe des flûtes dites
"globulaires". l'instrument est de forme généralement
ovoïde, muni de trous et d'une embouchure à conduit (bec).
La forme la plus élémentaire en est le sifflet, répandu
dans le monde entier et d'origine très ancienne. Instrument de
leurre, voire d'imitation, depuis l'âge de pierre vraisemblablement.
Le sifflet peut être confectionné en os, roseau, écorce,bois,
ivoire, pierre, argile ou métal....
Quelques types interressants sont les "vases siffleurs" de l'Amérique
Précolombienne, connus aussi dans les civilisations sumériennes
et chinoise. En terre cuite et le plus souvent de formes animales et humaines.
Les sifflets d'Afrique noire présentent également de notables
particularités : ils sont formés d'un tube de bois de diverses
tailles surmonté d'une embouchure très échancrée.
Les sifflets à roulettes sont aussi des instruments globulaires
comportant une bille tels ceux des arbitres et de la police.
L'ocarina moderne (de l'Italien=petite oie) fut inventé par G.
Donati en 1860. En métal muni de huit trous. La hauteur des sons
couvre l'octave. De tailles variées, les plus gros émettent
des sons plus graves..."
Extraits de "Les instruments de musique du monde" de F. R. Tranchefort
Tome II pages 36 et 38.
On en trouve dans tous les magasins de musique et leur prix n'est pas
très élévé (10 /15 Euros ?)
19/11/03 Gilmor
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12/11/03-Commentaire de (Pseudo) Pajot
J'en ai vraiment marre
d'être pris pour un acheteur-gogo, souhaitons que ça s'améliore...je
me soigne mais c'est pénible!
Répondre
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Réponses: |
La modestie doit être
de mise pour tous.
Je veux dire qu'on a beau être vigilant, un moment donné
on relache son attention sur un détail et la déception est
au rendez-vous.
Le sentiment d'avoir été abusé se mêle avec
celui de culpabilité de s'être trompé (encore une
fois mais c'est bien la dernière, se dit-on). C'est, paraît-il,
la meilleur école mais aussi la plus chère parfois. On apprend
vite de cette façon. Elle vient en complément de toutes
les informations que l'on ingurgite qui proviennent des connaissances
spécialisées des autres, de ses lectures et à la
longue de son expérience propre qui s'affine, quand même,
à la longue.
Personnellement je ne désespère pas avec le temps de limiter
mes bourdes. Je pense que ça fait partie du jeu, bien malheureusement.
15/11/03 gilmor
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26/10/03- Commentaire
de (Pseudo) ArcFox
I recently found a Civil War style cornet that is interesting
to me because of the mark on the bell. It has a little crown and it looks
very much like the mark for Labbaye. There is no signature or words, just
the crown. Do you think it's possible that this instrument was made by
Labbaye and exported to the U.S.? Maybe you have some books that show
similar markings or Labbaye instruments from the 1860s-1870s. It would
be truly unique if it actually was made in France because the rotary valve
is so uncommon there! I made a photo
of the stamp on the cornet so that it's easier to see. Next to that photo
is the stamp from my Labbaye keyed bugle. It's really a mystery to see
an American style cornet with a marking like that. Please tell me what
you think about it.
Thank you
Répondre
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Réponses: |
About Labbaye
I have no more information that the one given by Waterhouse that you know
already surely:
Labbaye Jean-Christophe, in 1860, exported 75 % of his production. Mainly
to England to Gordon & Hanson agent from 1862 to 1871 (nude or with
the crown) and Hanson William which stamped his name on Labbaye's horns
from 1864 to 1870. Some of them exported, probably, to USA to furnish the
two camps during the American Civil War.
19/11/03 gilmor
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18/10/03- Commentaire
de (Pseudo) Phenix
Bonjour,
Voici
la photo
de la flûte traversière Thibouville dont je souhaite connaître
lannée de fabrication approximative.
Merci encore des renseignements que vous serez en mesure de me fournir.
Cordialement.
Répondre
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Réponses: |
Je possède la même flûte , plus sombre
(ébène ?) mais elle est fendue sur la tête et la partie
suivante. La signature de Thibouville par contre n'est pas répertoriée
sur le site . Dès que j'ai un appareil sous la main , je joins
des photos .
21/01/04 kricho
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07/10/03- Commentaire de
(Pseudo) sina:
Could anyone tell me a little about my
old Couesnon cornet,
(photo)
?? I have had it since mid 70'ties, when I bought it used from a local
band with which I then played.
What is written on the cornet is;
COUESNON
105 Rue LA FAYETTE
PARIS
MADE IN FRANCE
In addition, I found printed on the pipe leading from the mouthpiece forwards
to the first valve, approximately 10 cm from the mouthpiece: N 5
On the mouthpiece itself there is some kind of mark that I cannot read
or describe. I do not know if it is the original mouthpiece.
I have also got a box for my cornet, black with blue lining.
I would very much appreciate to know more about this dear "old friend"
of mine.
Best regards
Répondre
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Réponses: |
Dear Sina,
First, we do not know exactly how old it is. Most of the Couesnons got the
year of its manufacturing wrote with the other inscriptions on the bell.
It's easy to find. The two last numbers of the year are in, what we call
in French, a "grenade": an oval mark with a kind of flam on the
top of it. The best is to see the photo
attached to this mail. You will understand easily in watching it.
What is sure is that your instrument is not too old.
First because the fingers buttons valves look modern and the Company took
place in this address (105, rue Lafayette, Paris 9th) in 1937.
You will find, also attached, a little text
about the Couesnon's family. (sorry for the author of it but I can't find
the sources)
The other indications wrotten on the instrument, won't give any interesting
further informations.
About your instrument it self it looks nice and apparently in a pretty good
condition without major damages except, but I'm not sure because the photo
is not large enough, a soldered joint between two tubes.
I hope other members will be able to complete my answers.
07/10/03 Gilmor
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12/08/03- Commentaire de (Pseudo)
basax:
Merci tout
d'abord pour votre espace de dialogue, vraiment utile pour le novice que
je suis.
J'ai remarqué que les rebords de pavillon de certains cuivres étaient
recourbés et comportaient un fil de cuivre ou de laiton, d'autres
un rabattement large et plat et certains autres se distinguant de façon
encore différentes.
Serait-ce une marque de fabrique de facteurs pour se distinguer de leurs
confrères?
Est-il donc possible, dans cette hypothèse, de certifier l'origine
d'instruments sans marque que l'on a entre les mains?
J'appelle les incollables au secours! et je les en remercie.
Répondre
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Réponses: |
Incollable, je n'en suis
pas!
L'on pourra, dans un premier temps, déterminer le pays ou certaines
régions d'Europe. J'ai visité le site (en anglais) du National
Music Museum à Vermillion (USA) récemment qui traite du
sujet et qui pourrait vous mettre sur la piste:
Différents
types de bords de pavillon
12/08/03 Gilmor
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15/05/03-
Commentaire de (Pseudo) brack:
Bonjour,
j'ai fais l'acquisition d'un saz turque , j'aimerais avoir des infos sur
cet instrument;
jeu,tonalité,accordage,methodes,tuyaux,sites,liens....Si vous avez
quelque chose pensez à moi.
Merci de votre attention et à très bientot j'espere.
Répondre
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Réponses: |
Ma "Bible" personnelle
s'appelle:
Les instruments de musique du monde de François-René Tranchefort
Ed. Point Musique en deux volumes (genre livre de poche).
Voici ce qu'il en dit:
Page 157 du volume 1
"Famille des luths arabes: luths populaires.
Au Sétâr et au Tar s'apparentent nombre de luths en usage
dans les régions d'Asie antérieure, qui ne sont utilisés
que dans les musique populaires traditionnelles (...) Le saz -ou sas-
couramment répandu en Azerbaïdjan, en Arménie, en Turquie,
est à long manche avec des frettes de boyau amovibles, et possède
trois ou quatre cordes, simples ou doubles."
Page 159 du volume 1
" Le Meydan saz, de la famille des saz qui existe en Turquie comme
en Yougoslavie: le nombre des cordes varie entre huit et douze; il se
joue en soliste ou dans des ensembles."
J'ai fait un tour sur ce site en anglais, il développe, à
mon sens, assez bien l'instrument:
První SAZ Plzen as:
(en anglais)
Mais aussi: .Marvin.ECC:
(en anglais); Sazs:
(en anglais); Acam.musique:
(en français, assez mince!)
Et une vingtaine d'autres encore listée
sur Google.
A bientôt
15/05/03 Gilmor
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28/04/03-
Commentaire de (Pseudo) cltalt:
> Bonjour à tous !
Je viens à vous pour vous annoncer une bourse aux instruments,
matériel et partitions de musique qui aura lieu dans la Sarthe,
à Neuvy en Champagne ( prés de Conlie, pas trés loin
du Mans ) le diimanche 14 Septembre 2003, à partir de 9H00. Ce
"salon" de l'instrument d'occasion est trés convivial
et existe depuis quelques années déjà! Alors avis
aux amateurs!!
Bien amicalement à tous.
Répondre
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14/04/03- Commentaire
de (Pseudo) marco:
SAVEZ VOUS OU SE TROUVE LES N° DE SERIE SUR LES
SAX ALTOS CONN ?
MERCI PAR AVANCE
SYMPA
Répondre
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Réponses: |
C'est, ma foi, fort simple.
Lorsque vous avez le sax entre les mains en position de jeu, le N°
de série est contre votre nombril (approximativement) et plus précisement
au dessus de la jonction de la culasse ou encore à la base du corps
le plus long avant la jonction de la cuasse.
16/04/03 Gilmor
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15/03/03- Commentaires
de (Pseudo) armam:
Bonjour,
J'ai acheté un sax alto aux USA de marque Karl Meyer. Pourrait-on
me confirmer qu'il s'agit bien d'une fabrication Selmer?
Merci.
Répondre
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Réponses: |
Absolument et précisément
H&A Selmer USA. Aussi sous d'autres marques comme Bundy, Lincoln,
Manhattan, Marcil, Signet et sans doute d'autres encore. Je ne saurais
que trop vous conseiller de visiter la page http://www.explicasax.com.br/ftp/artigos/clarinet_makers.pdf
(format PDF) du site brésilien explicasax.com (en portugais),
qui reprend, de plusieurs professeurs d'unversités Américaines,
un travail de listing et de correspondances de fabricants ayant signé
leurs instruments sous d'autre noms.
17/03/03 Gilmor
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14/03/03- Commentaires de (Pseudo) panc02:
Quelqu'un
pourrait me renseigner sur le saxophone électrique "Varitone"
de Selmer?.
Merci
Répondre
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Réponses: |
Vous en saurez plus en vous rendant sur
le site "saxophone.org"
qui traite abondamment et savamment du sujet ( en anglais).
17/03/03 Gilmor
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27/02/03- Commentaires de (Pseudo)
jacrev:
Bourse de la musique, à CASSEL
(59) le 22/06/03 dans le cadre du Festival "Cassel Cornemuses",
de 9 heures à 13 heures. 6ème édition, organisé
par l'association"TRACES" (recherches en musiques traditionnelles).
Venez vendre ,échanger, acheter tout ce qui concerne la musique
: instruments, partitions, documents, accessoires, disques, photos, catres
postales... . Contact: association Traces 03 20 33 81 35
Répondre
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07/02/03- Commentaires de (Pseudo)
Abbe-c:
Merci pour
votre tribune.
J'ai aimé l'originalité des "sculptures" de Arman.
C'était avant ma découverte tardive des instruments de musique
et un début timide de collectionnite, à présent la
nausée m'envahie (je n'exagère pas!) à la vue de
ce que l'on appelle la déstructuration, le découpage, l'écrasement,
l'entassement, etc...qui caractérise "l'oeuvre" de l'artiste
destructeur.
Ne pourrait-on pas rendre justice, devant tant de dédain, aux facteurs
de ces instruments détruits qui oeuvrèrent des dizaines
d'heures et beaucoup plus parfois?
Répondre
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Réponses: |
La solution serait de ne plus les acheter
ou bien encore de les voler, les rendre à leur état d'origine
et de les déstructurer à nouveau sur la tête de ceux
qui en tire profit.
10/02/03 frances
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05/02/03- Commentaires de (Pseudo) thierr:
cherche historique
et côte éventuelle pour un saxo tenor de marque Pierret Modèle
6 n°5798.
Répondre
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Réponses: |
-Louis Pierret fut ouvrier de Besson Paris
et Millereau avant de s'installer à son compte à Paris en
1906, il fut repris par la firme anglaise Boosey & Hawkes dans les
années 40 en continuant à fabriquer sous son label jusqu'en
1959.
05/02/03 marsi2
-Vous est-il possible de lire une adresse sur le corps de l'instrument
(de 1906 à 1921= rue Piat, de 1930 à 1937 rue Folie Méricourt,
1937 à 1959 Boulevard Voltaire) ? une date d'exposition du type
Universelle?
Y aurait-il de noter "Nil Mélior" ou encore "Nic
Mélior"?
06/02/03 h-prat
-Le marché de l'instrument, au même titre que la bourse,
fluctue en fonction de l'offre et de la demande, de la renomée
du fabricant, de l'état général (bosses, manque de
pièces, année de fabrication, boite d'origine, tampons blancs),
de l'année de fabrication, du modèle, de la rareté,
de la qualité des alliages, de la finition (nickelé, argenté,
finition laiton, or, etc).
07/02/03 martin
-J'ai acheté un sax alto Nil Mélior N°2 l'an passé
de l'époque rue Piat dans une vente aux enchères pour 500
frs! dans un état relativement correct.
L'on a pour habitude de dire plus un instrument est ancien plus il est
recherché donc plus il est cher...
07/02/03 Abbe-c
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26/12/02- Commentaires de (Pseudo) Gilmor:
Bonjour à
tous.
Qui pourrait me dire pourquoi sur les instruments "F. Besson"
les initiales portées sur le monogramme sont: F. R. Seraient-elles
en fait celles de Florentine Besson née Ridoux?
Un vrai bonheur si un érudit me répond!
Répondre
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26/12/02- Commentaires de (Pseudo) Pajot:
Qui peut m'expliquer la différence
entre "piston", "stoelzel", "perinet", "viennois"
? Ce serait "non assistance à conservateur de musée
en danger que de ne pas répondre".
Répondre
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Réponses: |
Concernant vos interrogations (et lcelles
de beaucoup d'autres)) sur les différents types de pistons, voici
une liste descriptive qui devrait vous combler (en anglais) vu sur le
site du National Music Museum à Vermillion (USA):
Stöelzel,
Berlinois,
Périnet,
Rotatifs,
à
disques
A bientôt.
12/08/03 Gilmor
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26/12/02- Commentaires de (Pseudo) Pajot:
Très heureux de pouvoir participer
à ce site. Je souhaite faire passer l'information relative à
la création du Petit Musée des Cuivres de THOARD (alpes
de haute Provence) dont l'ouverture est programmée courant 2003.
Répondre
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Réponses:
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Bravo!
Je sens que je vais manquer de superlatifs pour décrire tout ce
que j'ai vu lors de mon voyage (trop court!) dans votre charmant petit
village agrippé à la colline.
Mon objectif était la découverte de votre "Petit Musée
des cuivres" dont l'ouverture était tant attendue. Une vraie
impression de paix lors de mon arrivée sur la grande place de la
mairie. Votre musée qui y est attenant sentait encore la peinture
fraîche. Je suis venu malheureusement un jour trop tôt car
votre inventaire n'était pas encore défini mais je ne désespère
pas d'y retourner très bientôt et de goûter à
nouveau à votre chaleureux accueil à l'accent méridionnal
(autre élément rapporté à votre village en
plus de vos beaux instruments).
Pour infos :
L'administrateur
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