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ORGANOLOGIE
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ORGANOLOGIE
Classification des instruments de musique

La classification des instruments de musique n'est qu'un des champs de l'organologie ( science des instruments de musique). Elle découle de deux autres champs qui sont, d'une part celui de la recherche des origines et des filiations- qui s'appuie principalement sur les données de l'ethnologie et de l'anthropométrie- et d'autre part celui de l'étude pratique des instruments qui s'attache à leur description matérielle.
Les controverses entre spécialistes alimentées par les deux champs cités plus haut et par des critères d'appréciation comme la richesse des variétés d'instruments, leur évolution par leur perfectionnement, la complexité de certains types d'instruments à être catalogués car à cheval sur plusieurs catégories, ont été à l'origine de divers systèmes de classification.

Voici quelques grands systèmes de classification:
Le système chinois serait la plus ancienne classification connue. Reposant sur des concepts mythiques et l'observation des matériaux de résonnance. Les instruments de musique chinois sont divisés en huit catégories:

Le métal ( les cloches, la trompette, etc.).
La pierre ( la flûte de jade, etc.)
La terre ( l'ocarina, les tambours en terre, etc.)
Le bois ( le hautbois, etc.)
Le bambou ( les flûtes droites, etc.)
La calebasse ( l'orgue à bouche)

La peau ( les tambours)
La soie ( les cordes)

En occident les auteurs de traités anciens n'eurent d'autre commune préoccupation que de décrire les instruments de musique de leur temps et les distribuaient dans les catégories des cordes pincées, des cordes frottées des vents et des percussions.
C'est en 1914 que s'imposa la classification de Hornbostel et Sachs adoptée par la plupart des musées instrumentaux internationaux qui comporte quatre grandes divisions, subdivisées pour certaines:

Les idiophones ( le son est produit par la matière même de l'instrument)
Les membranophones ( le son est produit par des membranes tendues)
Les cordophones ( une ou plusieurs cordes sont tendues entre des points fixes)
Les aérophones ( le son est produit par de l'air)

Pour notre part et dans le but d'être compris par tous, nous nous sommes limités dans la rubrique "GALERIES" aux catégories suivantes:

Instruments de musique, anciens et de collection :
Les cordes
Les vents
Les percussions
Les instruments automatiques (boites à musique, instruments mécaniques)
Divers (lames sonores dites scies musicales, etc.)

Instruments de musique récents (moins de 50 ans) :
Les cordes
Les vents
Les percussions
Les claviers divers
Divers (lames sonores dites scies musicales, etc)

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LES VENTS

L'ACCORDEON

L'accordéon a été inventé par l'autrichien Cyrillus Demian. Le nom "accordion" vient du mot "accord". Il accompagnait les marches, les chansons.
Au fil des ans, l'accordion a subi de nombreuses transformations pour donner naissance à l'accordéon, plus mélodique.
Il fait partie des instruments à vent, l'air qui provient du soufflet fait vibrer des lamelles métalliques appelées anches libres.
Les très nombreuses inventions, afin de perfectionnements et d'originalités, sont décrites et répertoriées dans des ouvrages spécialisés à découvrir dans les librairies musicales ( voir celles que nous proposons amicalement dans la rubrique "
Liens-Partenaires/librairires musicales") :

Il existe différents types d'accordéons :

Accordéon diatonique :
Né à la fin du XIXème siècle, ancêtre de l'accordéon chromatique. En appuyant sur le même bouton on obtient un son en tirant et un autre en poussant. Le clavier main-gauche sert aux basses d'accompagnement et le clavier main-droite à la ligne mélodique.
 
 
Accordéon chromatique :
Il apparaît dans le premier 1/4 du XXème siècle. Plus complet dans ses tonalités il comporte toutes les altérations, chaque bouton correspond à une note qui ne change pas que l'on tire le soufflet ou qu'on le pousse. L'accompagnement est à gauche et la ligne mélodique à droite.
 
 
Concertina :
Une invention de Charles Wheatstone en 1829. De forme hexagonale, très utilisé par les clowns il possède deux claviers identiques à boutons.
 

Bandonéon :
Inventé en 1840 par l'allemand Heinrich Band. Mise en vibration de deux lames. Popularisé en Argentine avec le tango. Soit diatonique, soit chromatique.
 
(Retour vers accordéons, cliquez ICI )
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LE SAXOPHONE


Le saxophone
Un chemin, des voix.

Principes du saxophone et détails
La plupart des travaux de SAX repose sur une constatation fondamentale d’acoustique qu’il fut le premier à énoncer : " Le timbre d’un instrument est déterminé non par la nature du matériau employé, mais par les proportions données à la colonne d’air. "

Le son des instruments à vent n’est pas dû à la circulation de l’air, mais à la circulation d’ondes. C’est la vibration de l’air occasionnée par l’anche (pour le saxophone, ou les lèvres pour la trompette) qui fait le son. Le souffle du musicien n’est que l’énergie utilisée pour mettre en vibration l’anche. Ainsi, l’anche est le système excitateur.
L’instrument de musique prend son nom lorsque le système excitateur est couplé avec un résonateur. Ce résonateur est formé par la colonne d’air contenue par l’instrument.
Les instruments à vent fonctionnent comme un tuyau ouvert à une seule extrémité (seule la flûte est un tuyau ouvert aux deux bouts).
Considérons le tuyau sur toute sa longueur pour suivre le trajet d’une onde isolée. L’onde part du bec. C’est une onde de compression qui va vers le pavillon.

Cette onde va déboucher sur l’air ambiant en provocant dans le tuyau une aspiration. Cela va engendrer une onde de dépression en retour.

Lorsque l’onde arrive au bout du bec (fermé par l’anche), elle rebondit et repart vers le pavillon (tout en restant une onde de dépression).

Au pavillon, l’onde va de nouveau changer de signe et devenir une onde de compression.

L’onde de compression va rebondir sur le bec, et nous reprenons ce cycle.
Pour le saxophone, l’onde sort à un trou de note et si tous les trous sont bouchés, elle sort par le pavillon. Pour établir un cycle complet, l’onde a du effectuer une distance de quatre fois la longueur de la perce (deux allers retours). Le cycle complet est 1 Hertz (Hz). Ainsi, le La, 440 Hz, est produit par 440 fois quatre fois la longueur de la perce. Tout ceci est purement théorique, mais SAX l’avait sans doute bien compris.
Pour placer les trous, il faut donc comprendre que la vitesse du son n’est pas celle du souffle d’air... Le trou est placé à une distance définie ainsi :
Soit F, la fréquence de la note désirée ; V la vitesse du son, et L la longueur recherchée de la perce.
Nous pouvons calculer L ; L = V / (4 F)
Adolphe SAX a étudié les perces coniques et en parallèle, il a constaté que sur tous les types de perces il existait des " noeuds " (minimum) et des " ventres " (maximum) pour la pression et la vitesse des vibrations. Dans un instrument de musique, pression et vitesse sont antinomiques.

De plus, SAX a constaté que quelque soit le type de perces (cylindrique ou conique) :
agrandir le diamètre du tube sur un ventre de vitesse fait monter la note,
agrandir le diamètre sur un ventre de pression fait baisser la note,
diminuer le diamètre sur un ventre de vitesse fait baisser la note,
diminuer le diamètre sur un ventre de pression fait monter la note,

Ainsi, en jouant sur les diamètres SAX a mis au point une parabole en modification du cône. Cette parabole a pour avantage d’ajuster les registres élevés qui ont tendance à sonner trop bas.
Les mandrins utilisés par SAX étaient rigoureusement coniques, et si l’on trouve quelques déformations dans l’instrument fini, c’est certainement dû à la fabrication elle-même, soit du tube, soit de la perce des trous latéraux.
Finalement, nous pouvons dire que la forme parabolique apparaît au niveau des coudes coniques. La pression et la vitesse de la colonne d’air réagissent alors physiquement comme dans une perce parabolique. D’autres instruments qui utilisent des coudes coniques répondent alors à l’appellation " parabolique ".
Dans cette architecture en " parabole ", le bocal joue un rôle très important. En effet, SAX avait compris qu’un tube cintré ne sonnait pas comme un tube droit (surtout si le rayon du coude est petit). SAX fit breveter ses travaux alors très avant-gardistes. Le coude agit comme un tube plus large. En effet, dans un coude, pression et vitesse varient différemment à flux égal que dans un tube droit.
Le cintrage, au niveau de la culasse, est très petit. Cela permet de gagner de la longueur. Lorsque le saxophone est droit, il doit être plus long.
Mais ce qui rend possible la modulation sonore, les différentes notes, ce sont les trous et cheminées. Le trou n’est pas fait directement sur le laiton. Il y a un col autour du trou : la cheminée.

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LES CORDES

Le molo

..."Le molo fait partie de la famille des luth d'Afrique noire voués le plus souvent à l'exécution d'une musique de divertissement. Les instruments de prédilection des griots, ils accompagnent le chant, se jouent en solo et, parfois en duo.
La caisse de résonnance est en général constituée d'une demie calebasse; Le long manche, qui émerge de cette caisse, est très fréquemment pourvu- à son extrémité supérieure- de plaques à sonnailles métalliques dont le bruissement accompagne l'attaque des cordes. La caisse est recouverte d'une peau: leur timbre paraît aigu et voilé à la fois.
L'unique corde du molo peut être ébranlée avec un plectre rudimentaire."...

Sources: "Les instruments de musique du monde" de François-René Tranchefort. Ed. Point Musique.
(Retour vers accordéons, cliquez ICI ).

La guitare d'amour (Arpeggione)


"Première partie: la querelle des luthiers
Une oeuvre parmi les plus belles de Schubert, la sonate en la mineur (D.821), dite Arpeggione , que les violoncellistes connaissent bien, conserve seule le souvenir d'un instrument sans lendemain. La guitare d'amour a pourtant joui d'une brève célébrité, plus peut-être par la polémique qu'elle a suscitée dans la presse de Vienne et de Budapest en 1823 que par son rôle dans l'histoire de la musique.[...] "

Une guitare à archet
Une description enthousiaste énumère tous les avantages du nouvel instrument : douceur et profondeur de la sonorité ; facilité des traits chromatiques ou en tierces et justesse de l'intonation dans les passages rapides ; pureté et résonances dues à l'effet de corde à vide des cordes touchées ; générosité du son grâce à l'archet, etc. L'éloge se termine par l'assurance que les améliorations auxquelles Staufer travaille porteront l'instrument à un degré de perfection plus élevé encore.
L'article se termine par une envolée lyrique sur l'avenir prometteur des sérénades de Vienne, grâce à l'emploi d'instruments nouveaux comme celui-ci, et sur la célébrité qui ne manquera pas de récompenser le luthier Staufer.[...]

Deuxième partie: le destin d'une invention
Au-delà des querelles bouffonnes autour de son invention, l'instrument a cependant suscité un réel intérêt musical : le 18 mars 1824, August Birnbach, violoncelliste au Théâtre Impérial de Vienne, donne un concert au Landständisches Saal. Il y joue en particulier le premier mouvement d'un concerto pour violoncelle de sa composition, un mouvement d'un concerto pour la guitare à archet (chitarra col' arco, un nouvel instrument inventé par M. Georg Staufer), et accompagne dans des variations pour violon son fils de six ans. Si la critique du 27 mars suivant dans la Gazette Musicale de Vienne est moyennement enthousiaste, celle de la Gazette musicale de Leipzig, qui paraît le 29 mars, est franchement éreintante : «2. Concerto pour violoncelle, composé et interprété par le soliste ; si tacuisses - . 5. Concerto pour la guitare et archet nouvellement invenée par M. Staufer, arrangé et exécuté par le soliste, parfaitement impropre, malheureusement, à mettre en valeur l'instrument. 6. Variations pour le violon, jouées par August Birnbach junior, âgé de six ans et accompagné par son père au violoncelle. Un monsieur très au courant affirmait avec le plus grand sérieux qu'on entendrait prochainement un nourrisson.»[...]".

Vous voulez en savoir plus,... rendez vous sur le site thématique:
http://www.levioloncelle.com

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LES INSTRUMENTS DE MUSIQUE MECANIQUES
"Depuis les temps les plus anciens, l'homme a toujours essayé de réaliser mécaniquement des animations puis de la musique.

Grecs et Romains avaient construit des fontaines imitant les oiseaux au moyen d'un moulin à eau et de l'air repoussé par un récipient se remplissant.

9ème siècle: à Bagdad, des savants arabes réussissent à faire jouer une flûte grâce à un cylindre garni de picots.

14ème siècle: apparition des premiers carillons équipés de cylindres pointés actionnant des marteaux frappant sur des cloches.

16ème siècle: le carillon entre dans des horloges d'intérieur. La nef dite de Charles Quint contient un jeu de flûtes automatique.

17ème: L'orgue mécanique est en petit dans les pendules, en moyen pour danser et en gros volume (orgue de Salzbourg). Des pendules ont parfois des percussions sur cordes (tympanon).

18ème siècle: l'orgue mécanique se diversifie: en petit, c'est la serinette, en plus grand c'est l'orgue de salon, et les premiers modèles pour mendiants, dits "orgues de barbarie". Vers 1770, Jaquet-Droz invente l'oiseau-chanteur, un seul sifflet à hauteur de son variable; il entre dans de précieuses tabatières.

19ème siècle: bien qu'inventée à la fin du 18ème, la boite à musique apparait à Genève sous forme de bijoux, puis dans la montre et quelques fines tabatières. Elle est également construite à Sainte Croix; on fait des formats de plus en plus grands et des variétés musicales de valeur. Dans les familles, la boite à musique permet d'apprendre des airs à la mode et à danser, cependant qu'apparaissent des modèles avec accompagnements de percussions, et d'autres à cylindres de rechange. Vers la fin du siècle, le disque métallique à picots emboutis remplace le coûteux cylindre à picots.

En ce 19ème siècle nait l'accordéon mécanisé, c'est l'organette, sorte d'orgue de barbarie peu coûteux. A la même époque, le carton perforé ( inspiré par le métier à tisser de Jacquart) remplace le cylindre à picots, avant d'être lui-même supplanté par le papier perforé. Le piano est d'abord mécanisé au moyen de planchettes à cloud (Debain), puis par de gros cylindres en bois: il entre dans les guinguettes.

A l'époque 1900, la commande pneumatique permet de perfectionner le piano et de mécaniser bien d'autres instruments: harpe, banjo et même plus tard le violon. Toutes sortes d'instruments mécaniques sont dotés d'un monnayeur pour jouer dans les lieux publics. A cette époque aussi se répand le phonographe. Plus tard, la radio et de nouveaux goûts relèguent dans l'ombre ces instruments mécaniques...".
(Voir l'Association des Amis des Instruments et de la Musique Mécanique qui nous a aimablement autorisé la publication de ce texte. Cliquez sur
AAIM

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LES INSTRUMENTS DE MUSIQUE ELECTRONIQUES

"Les instruments de musique électroniques des origines aux années 1930"
Michel RISSE Maîtrise de musique, octobre 2003
Directeur de recherche : Christian CORRE

Toute reproduction, quel qu'en soit le mode et système de diffusion, totale ou partielle sans accord écrit explicite de Michel RISSE est interdite.
les extraits reproduits ci dessous ainsi que le texte intégral en liens hypertexte (ce dernier communiqué exclusivement aux membres sur demande) appartiennent exclusivemnet à l'auteur.
Nous le remerçions chaleureusement de nous avoir autorisé à les publier sur le site et de pouvoir en faire profiter nos membres et visiteurs.

"...L’histoire des instruments de musique électroniques a, malgré sa jeunesse, la mémoire courte. Peu de travaux lui ont été consacrés, et quasiment aucun en langue française. Beaucoup d’entre nous associent cette notion à celle de “ synthétiseur ” et assimilent le terme “électronique” à la technologie des transistors, soit une genèse qui remonterait à pas plus d’une cinquantaine d’années.
Quant aux éventuels instruments qui ont pu précéder, ils sont généralement considérés comme des avatars, de pathétiques ou distrayantes curiosités, épiphénomènes sans rôle ni place réelle, même au sein d’une vision “ évolutionniste ” de la musique – lorsqu’ils ne sont pas tout simplement ignorés.
Or, alors que nous étions attirés, pour un projet de création musicale, par le contrôle gestuel de certains de ces instruments (theremin et ondes Martenot), nous avons découvert qu’en réalité ils étaient les membres d’une généalogie très nombreuse et diversifiée. Une bonne partie des recherches débuta alors sur Internet, nous conduisant de surprise en découverte, et incitant à rassembler et approfondir ces données éparses. Y avait-il donc une sorte d’ « Ancien Testament » de la musique électronique ?...
...Tous les dispositifs électroniques utilisent l’électricité ; mais tousles appareils électriques ne sont pas électroniques pour autant. Le mot “électronique” évoque ordinairement des circuits imprimés couverts de transistors, de diodes, les cadrans et les boutons, toutes choses qu’on associe volontiers aux synthétiseurs1; est-ce à juste titre que, pour nombre d’entre nous, ce terme paraît anachronique lorsqu’on évoque le Telharmonium ou le télégraphe harmonique ? Pour le savoir, que signifie exactement “ électronique ” ? La consultation de quelques
ouvrages de référence ne nous assure que d’une chose : toute certitude à ce sujet relève de la cuistrerie.... "
La suite de cet intéressant mémoire de maîtrise (réservée aux membres, est offert par son auteur) est disponible en cliquant sur ce lien (format PDF, 356 K)
Le site officiel de Michel RISSE : Cliquer pour accéder au site...

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CURIOSITES ET ANECDOTES
Vu dans l'ouvrage de collection de briquets "Cigarettes Lighter" de Stuart Schneider et George Fischler.
Editeur: Schiffler, disponible à la boutique du Collectionneur, BP 417, 77309 Fontainebleau Cedex.
Exceptionnelle paire de briquets en forme de violon et de luth. Le bout du manche se soulève, révélant le mécanisme. Vers 1928.

...
Cliquez pour découvrir la photo...



Etonnantes sculptures en bois d'un violoncelle et d'un violon, plus vraies que nature, de
Jacques Chéreau, aperçues lors de Musicora 2001 et 2002.
Le petit accessoire de lingerie fine, sur l'épaule du violoncelle, fait aussi partie de l'oeuvre, admirez!

...Violoncelle
Cliquez pour découvrir la photo......Violon ("Fracture d'âme") Cliquez pour découvrir la photo...




A l'entrée d'un petit village du Jura !

...Cliquez pour découvrir la photo...


Cadenas-violon.
Travail d'un compagnon du 19 ème siècle.
Découvert dans "La Vie Du Collectionneur" N° 449.

...Cliquez pour découvrir la photo...


Orchestre d'instruments de musique "à note unique"!

Au dèbut du XIXe siècle dans cette Russie étonnante existaient encore des ensembles de cors de chasse uniques au monde.
Formès de 16 à 36 personnes (le plus souvent recrutées parmi les centaines de serviteurs plutôt peu musiciens de la cour...), chacune entraînée à jouer une seule et unique note (un gars, un tube, une note!). Une sorte d'orgue vivant avec des gens à la place des touches. Des morceaux entiers (ouvertures d'opéras compris!) pouvaient ainsi être exécutés et les partitions ressemblaient à des rouleaux pour pianos mécaniques. C'est le corniste Tchèque Johann Anton Maresch (1719-1794), élève de Hampel et engagé à la cour russe qui avail, en 1751, imaginé et développé cette curiosité musicale pour satisfaire aux voeux de I'impératrice Elisabeth (1709-1762). (Voir Johann Christian Hinrichs, "Entstehung, Fortgang und ietzige Beschaffenheit der russischen lagdmusik", St. Petersbourg, 1796; réédité en fac-similé par le Zentralantiquariat der DDR, Leipzig 1974; ces instruments sont conservés au Musee d'instruments de musique de St. Pétersbourg).

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VIE PRATIQUE DE L'INSTRUMENTISTE
Le transport de l'instrument.

"Tout collectionneur, musicien professionnel ou non est amené à voyager. Dans la majorité des cas, le transport ne pose aucune difficulté, mais il peut arriver que l'instrument soit volé, perdu ou abimé lors du voyage. Dans ce cas, le voyageur victime du dommage ne sait s'il peut engager la responsabilité du transporteur...".
Voilà le thème abordé, et Ô combien délicat dont la suite se trouve page 64 du numéro 258 du périodique " La Lettre du Musicien".

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LEXIQUE TECHNIQUE INSTRUMENTAL (A venir)

La facture instrumentale à de beaux jours devant elle. Pour preuve cette invention d'une trompette digitale de James Morrison à voir sur son site :
http://www.morrisondigitaltrumpet.com/

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